Au hasard des rues, des métros, des marchés...
De mon séjour de 2012, il reste encore bien des images et des souvenirs, photos prises dans le quartier où j'habitais, sur un marché, dans le métro, selon l'humeur du moment...
A l'entrée de la supérette, à côté de la maison où je vivais, un marchand venait s'installer le mardi avec ses brochettes, ses yakitoris délicieux...
Un marchand de poisson...
Images du métro, où les Japonais dorment la plupart du temps, ou s'isolent avec leur téléphone...
J'étais très intéressées par les chaussures que j'ai pu croiser, en remarquant qu'elles avaient souvent une bonne pointure de trop, pour pouvoir être facilement ôtées et remises...
Kawaïï...
Tout près de chez moi, un temple...
Cette rue, quand je suis arrivée, les cerisiers étaient nus, puis ils ont fleuri, puis le sol était blanc de pétales et quand je suis partie...
Ma chambre, spartiate, mais ce que j'y étais bien !
Et "ma" maison :
Dans le quartier (au tour de la gare d'Otsuka)
La ligne de tram qui m'a souvent servie à me retrouver !
Un magasin de thé, où j'ai bien failli m'acheter une théière, d'ailleurs, tenu par un très vieux monsieur, dans une ruelle derrière la maison...
Une autre ruelle...
Retour dans le métro, toujours le souci de beauté des Japonais
Chasse aux affiches de crevettes...
Le fameux carrefour de Shibuya
Un énorme magasin de disques
Tout l'immeuble est un karaoke
En traînant à Shibuya...
Outil indispensable au Japon...
Moyen de transport préféré au Japon, il y en a des milliers dans les rues de Tokyo... et d'ailleurs !
A la sortie de la gare de Shibuya, la foule attend le feu pour traverser.
Et les feux passent au vert... enfin ils disent "aoi" bleu...
Les employées de bureau, version femme
version homme, le costume, la chemise blanche et l'attaché case, un genre d'uniforme !Depuis Fukushima et la réduction de la consommation des climatiseurs, on en voir en bras de chemise ! mais c'est rare !
Akihabara, le quartier des geek et des maids (jeunes filles en tenue de soubrette distribuant des prospectus pour des bars) avec la surprise de cette pâtisserie "française".
Pause reconstituante...
Dans un bistrot, buvant un pot et mangeant un morceau avec une japonaise (francophone, heureusement,) qui m'avait gentiment invitée.
Voilà, 2012 est entièrement revu, un vrai bonheur de m'y replonger ! Bientôt 2013 et Shikoku !