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Il y a 20 ans premier grand voyage, la Nouvelle Calédonie : l'île des Pins, suite et fin !

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Au matin le jour m’a réveillée à 6 h 30 (le soleil se lève et se couche tous las jours à la même heure avec quelques variations de saison sous les tropiques, et là nous sommes quasiment sur le tropique du Capricorne) La marée s’était retirée et le paysage était gris… 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

L’excursion de la journée : traverser la baie d’Upi, marcher 3/4 dans forêt jusqu’au gîte « chez Régis » , manger, puis aller à pied en traversant un bras de mer dans une piscine naturelle, véritable aquarium naturel aussi ! Je remets la carte, le tracé est en pointillé. 

 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Je me demandais comment j’allais m’en sortir dans la forêt toute seule quand j’ai été sauvée ! Quelqu’un du village avait une cousine « métro » en visite et elle aurait voulu faire l’excursion, déjà réservée pour moi… J’ai bien sûr accepté de partager et qu’on la fasse ensemble !! (trop contente ! au moins on aurait été 2 à se perdre ! ) 

Voilà notre piroguier qui arrive : 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

On peut parler d'un "frêle esquif" !

Vous voyez le petit banc, là ? Eh bien la jeune femme et moi nous le sommes partagé et nous voilà parties ! On aurait dû naviguer à la voile mais… pas un souffle !! (chaque fois que j’ai mis les pieds sur un voilier le vent est tombé aussitôt !) donc notre piroguier (Tahitien nous a-t-il dit) a mis le moteur ! 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Il nous parlait mais nous ne comprenions absolument rien !! Il paraît que c’était en français ! mais l’accent… Dans le chenal St Josph on longeait des plages de cocotiers avec des cabanes, des maisons, enfouies dans la végétation.

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

On sort du chenal et on entre dans la baie d’Upi, on doit aller jusqu’au fond ! On croise un îlot corallien chapeauté de verdure .

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Au gîte on nous avait dit : « on vous dépose sur la plage, vous prenez un sentier entre deux cocotiers (Heu….y en 10 000…et pas vraiment de sentier...) et vous marchez 45 mn dans la forêt… » Oui… Nous arrivons au fond de la baie…

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Le piroguier devait avoir l’habitude de reconnaître  les deux bons cocotiers, et nous avons effectivement trouvé une entrée de sentier…

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Le piroguier repart vaquer à ses occupations et nous entrons dans la forêt… A partir de là ce ne sont plus mes photos, mon appareil est plein et je n’ai pas où le vider pour en prendre d’autres ! donc maintenant je me suis servie des images de Google et pour le sentier de ce lien :


https://www.blog-trotting.fr/voyage/nouvelle-caledonie/12386-lile-des-pins-1


J’ai choisi les images qui se rapprochaient le plus de mon souvenir assez précis ! 

Le sentier s’élargit et nous voilà dans une forêt de cocotiers : 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

40 minutes de marches dans la forêt...

30-mn-de-marche-plus-tard-la-fort-sclaircit-un-peu-5cc3701e0e88d.jpeg

Mais en fait il n'y avait que nous deux !!

Nous avons un peu erré mais finalement nous  arrivons au gîte « chez Régis » pour le repas de midi (à peu près !) 

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Le menu était un ragoût de poisson et de taro, sorte de racine, ou tubercule… Dans mon souvenir c’était bien quelconque, mais bon, on a mangé, et ensuite nous sommes parties vers la piscine naturelle sur l’île Kougny. Il faut marcher dans le bras de mer pendant un bon moment ! à l’aller, l’eau au genou, ça va, au retour, l’eau en haut des cuisses et contre la marée, ce fut un bon exercice ! Mais voilà le paysage qui nous attendait : 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

On a pied pratiquement partout mais là où l’eau est turquoise il faut nager pour ne pas marcher sur les coraux, et avec le masque c’est un spectacle magnifique ! Entourée de pins colonaires il n’y a pas de vent, pas de clapot, et je me risque à nager avec le tuba (je l’ai traîné jusque là quand même !) et je fais des photos, mais avec un appareil jetable spécial plongée, autant dire qu’elles sont minables, mais quand même je les ai prises, et quand je les revois je me dis  :

«  j’y étais ! »  !! 

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Du corail bois de cerf, bleu...

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Par pitié pour vous je mets de vraies photos des poissons de la piscine naturelle de l’île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

De retour chez Régis, une voiture nous attendait et nous a ramenées à Vao, et dans mon gîte. La journée était sublime, mais assez fatigante, et pour la seconde nuit, comme je savais à quoi m’attendre, pas d’angoisse, pas de stress et un très bon sommeil !  

Le lendemain la voiture me ramène à l’aérodrome pour prendre mon avion à midi.

Là j’ai eu le spectacle incroyable du lagon, des atolls, du plattier, avec des bleus, violets, turquoise, bruns époustouflants. Je supprime quelques photos de la veille pour pouvoir en prendre quelques unes par le hublot qui ne rendent pas du tout la magnificence du spectacle !

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Un bout de l'hélice de l'avion, et sur l'atoll, le point blanc est la seule partie émergée !

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

L’arrivée sur la presqu’île de Nouméa

Nouvelle Calédonie, Nouméa, 2004, l'île des Pins

Mon fils m’attendait, et je ne saurais lui dire combien encore maintenant, 20 ans après, je lui suis reconnaissante de ce merveilleux séjour ! 

Mais le voyage n'est pas fini ! Demain on va chez les cow-boys !

 


 

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