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Chocolate - cuisiner pour les autres, manger avec eux, la recette d'une belle vie !

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La valeur d’une vie dépend de l’amour qu’on a partagé, pas de l’amour qu’on a reçu.

 

Epictète.

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Chocolate
Profile
Drama: Chocolate
Revised romanization: Chocolate
Hangul: 초콜릿
Director: Lee Hyeong-Min le film « postman to heaven » - dramas « strong woman Bo Dong Soon » »Bad guy », « The snow queen », »Winter sonata »…
Writer: Lee Kyoung-Hee « Uncontrollably fond », « the innocent man » « Thank you »,…
Network: JTBC
Episodes: 16
Release Date: November 29, 2019 - January 18, 2020
Runtime: Friday & Saturday 23:00
Genre: Romance
Language: Korean
Country: South Korea

Netflix

Distribution :

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Ha Ji Won (Moon Cha Young) vue dans Empress Ki, The King 2 hearts, Secret garden

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Yoon Kye Sang (Lee Kang) vu dans le film « Malmoe » dramas « The greatest love », « Road N°1 »…

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Jang Seung Jo (Lee Jun)vu dans « money flower », « Six flying dragons », « Scholar who walk the night »…

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Yoo Teo (Kwon Min Seong) vu dans « Vagabond »…

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Min Jin Woong ( Moon Tae Hyun) vu dans « Yong pal »…

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Kang Bu Ja (Han Yeong Seol l’affreuse grand-mère) vue dans « Thank You » …

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Kim Won Hae (Kwon Hyeon Seok) vu dans plein de dramas, dont « while you were sleeping », «  chief Kim », « Life, « Signal », « Misaeng » etc etc…

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Yum Hye Ran (Ha Yeong Sil, infirmière chef) vue dans « When the camélias bloom », « Life », « Live », « Prison playbook », « the K2 »…

Synopsis :

Lee Kang est un enfant heureux qui vit dans le restaurant de sa mère, au bord de la mer, il rêve de devenir cuisinier. Un jour passe une famille dont la petite fille Cha Youn semble triste, et pour la rendre heureuse il cuisine pour elle…
Des années plus tard Lee Kang, récupéré par son horrible grand-mère, chef autocrate d’une famille possédant un hôpital, est devenu neurochirurgien réputé, mis sans cessa en compétition avec son cousin Lee Jun.
La petite Cha Youn est devenue une excellente cheffe car elle n’a jamais oublié le repas qu’un jeune garçon lui avait servi.
Le destin va réunir Lee Kang et Cha Youn, après pas mal de drames dans leur vie, dans un centre de soins palliatifs appartenant à la famille Lee

Ce que j’en ai pensé :

 

Ce ne sont pas les péripéties elles-mêmes des personnages, car on a vu ça cent fois : une rencontre enfantine, un premier amour que le Destin remet sur notre route, le chef de famille tyrannique, les destins brisés par un grave accident… Non, si je l’ai aimé c’est par la qualité délicate et l’atmosphère impressionniste d’une réalisation légère et intelligente soutenue par une photo particulièrement belle, soignée, privilégiant les gros plans au ras des herbes, des plantes, apportant des pauses de calme bonheur, avec une vraie recherche dans les lumières d’aube grise, ou de couchant lumineux.

Les deux éléments essentiels sont la cuisine avec ce qu’elle apporte de chaleur et de réconfort, et le lieu principal du drama : un centre de soins palliatifs.

Le scénario chemine paisiblement dévoilant peu à peu les tenants et aboutissants, (seulement quand il en a envie, ce qui donne une telle originalité au récit, et non aux moments obligés habituels). On se pose des questions, puis on les oublie presque et la réponse nous arrive soudain dans un récit d’une scène passée, ou dans le besoin longtemps retenu d’un explication et un pan de l'histoire s ‘éclaire et se précise.

Les personnages pourraient être aussi les stéréotypes habituels : les deux cousins rivaux briguant l’héritage, sauf que là ils s’en écartent peu à peu, et laissent entrevoir leur personnalité profonde. C’est comme par hasard qu’on va découvrir que l’un des héros pratiquait la poterie, et c’est presque sans le faire exprès que l’autre laisse échapper à quel point la vie de contrainte qu’il a menée l’a épuisé…

Le drama est lent, rythmé par les séances de préparations culinaires de l’héroïne, car, rappelons-le, la cuisine est le vecteur essentiel de la relation humaine dans ce drama.

Dans un centre de soins palliatifs, les patients sont sur le départ…. et des départs il y en aura, mais le réalisateur a su rester dans la délicatesse de l’évocation. Et c’est par la cuisine et les souvenirs qu’ils en ont que ces patients vont vivre leurs derniers jours, retrouvant leur enfance, ou leur amour par le miracle d’un goût longtemps cherché et enfin retrouvé.
La cuisine y est le symbole de la vie plus forte que tout jusqu’au bout. Les différentes anecdotes liées aux patients s’intercalent dans l’histoire principale, tissant un récit qui nous imprègne de plus en plus non de tristesse mais d'une paisible chaleur humaine et d'un bonheur tranquille. Les personnages vont trouver leur voie, la force d’imposer leur choix, la force de pardonner, la liberté de choisir.

Ce que j'ai moins aimé :

Justement, le légèreté de la réalisation frôle l’inconsistance, les trois premiers épisodes déroutent, on ne saisit pas où veut aller le réalisateur, les années défilent d’un coup, accumulant les évènements, comme si le réalisateur avait cherché un peu son chemin, jusqu’au moment de l’arrivée au centre de soins. Là, l’histoire s’installe et se développe, donc il faut ne pas se laisser rebuter, ce que j’ai failli faire je l’avoue !

Quelques personnages ou scènes inutiles (le frère, très souvent insupportable, la dernière séparation qui n’apporte rien, comme si le réalisateur s’était dit « Ah ! rappelons-nous qu’on fait un drama, ça manque de cliché ! » ) mais cela ne détruit pas la jolie petite musique de l'ensemble, juste une ou deux fausses notes !

la fin :

On aimerait que tout soit bouclé, mais ce qui a été perdu ne reviendra pas, et la vie continue, comme le dit Kang il y aura des moments difficiles, mais on les surmontera… Donc une fin heureuse, mais non le happy ending asséné comme la Vérité inévitable…

La musique est belle, sauf la chanson, que l’on entend surtout au début, puis qui peu à peu disparaît et c’est très bien, elle ne collait plus du tout à l’atmosphère.

Les acteurs sont très bons particulièrement Yoon Kye Sang, déjà tellement excellent dans le film « Malmoe », tout en retenue, intériorité et justesse. Je dirais que lui et Jang Seung Jo (Lee Jun) jouaient « cinéma » et les autres jouaient « drama », et ça se voyait un peu avec Ha Ji Won, qui m’a parue parfois moins à l’aise, surtout dans les scènes avec Lee Kang. Lui, il « était », elle, elle « jouait », si vous voyez ce que je veux dire.

Mais comme la bonne cuisine, ce drama se goûte, se déguste et laisse une grande douceur en bouche.

Commentaires

  • J'hesitais... je suis convaincue !

  • J'ai failli lâcher au début, mais j'étais à l'hôpital, sur mon "petit connard" avec une mauvaise connexion et pas très claire dans ma tête, donc je me suis cramponnée et finalement j'ai beaucoup aimé !! Ce n'est jamais triste, ou larmoyant, même si on a les larmes aux yeux... Tu me diras !

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